L’importance du sport
sur ton corps

L’alimentation

Une activité physique régulière ainsi qu’une alimentation saine et variée permettent le bon fonctionnement du corps.

Santé du corps

De plus, le sport permet une meilleure circulation du sang, un renforcement des articulations, ainsi qu’une endurance accrue qui permettent au corps de se maintenir en bonne santé.

Meilleure santé

Conscient des nombreux bienfaits que procure le sport sur la santé, le Groupement polysportif promeut l’activité sportive au sein du personnel de l’Etat de Fribourg ainsi qu’envers leur famille.

Bien-être et repos

L’activité sportive permet de faire le vide de l’esprit, et ainsi d’accroître le bien-être de l’individu et sa productivité, tout en réduisant les effets du stress sur le mental.

« Le sport c’est bon pour le cerveau »

Par le Café scienfitique

« Un esprit sain dans un corps sain », le vieil adage se confirme. Pratiquer une activité physique influence certaines capacités de notre cerveau telles que la compréhension ou encore la concentration. La recette: il suffit de trouver un juste équilibre !

Oui ! « A la question, le sport est-il bon pour le cerveau, la réponse est oui ». Le docteur Pierre Lavanex, du laboratoire de développement du cerveau et de la cognition à l’Université de Fribourg, a ainsi confirmé l’adage : « un esprit sain dans un corps sain ». Mais pas de miracles pour autant, ce n’est pas en courant un marathon que l’on devient un génie.
« Einstein était-il un grand sportif, alors? » Et le professeur de répondre avec une pointe d’humour : « Qui sait, il aurait peut-être été encore plus intelligent s’il avait fait du sport. » Si le ton du café-scientifique, consacré aux effets du sport sur le cerveau, était plutôt enjoué, la thématique a été prise très au sérieux.

Alors que près de deux tiers des enfants dans le monde ne bougent pas assez, quelles sont les influences de cette sédentarisation sur leurs compétences cognitives? Faut-il craindre des difficultés scolaires par manque de mouvements au quotidien? Psychomotricien, Patrice Guyot a rappelé l’importance de bouger dans l’apprentissage des enfants. « Pour eux, une idée est associée à une action. S’il ne s’est jamais projeté dans l’espace, un enfant aura ensuite des difficultés à conceptualiser une idée telle que la 2D d’une feuille de papier ou simplement de relier un point A à un point B dans l’espace. »
Bouger, jouer, expérimenter sont donc les maîtres mots pour entraîner son cerveau. « Toutes les activités physiques sont bonnes, mais celles qui augmentent le rythme cardiaque ont un effet scientifiquement prouvé », a noté Pierre Lavanex. En effet, l’expression « s’oxygéner le cerveau » n’est pas anodine. « Lors d’un effort aérobic certaines molécules sont produites et influencent les fonctions cognitives. »

Cerveau d’élite

Qu’en est-il du cerveau des sportifs d’élite. « Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours ressenti le besoin de bouger », a relevé Olivier Andrey, quadruple champion suisse de badminton. « Souvent, quand je dois étudier, cela me fait du bien d’aller faire du sport. Je travaille mieux ensuite. »
Mais encore une fois, comme dans de nombreux domaines, tout est question d’équilibre. « Le fait de répéter les mêmes mouvements liés à un sport font travailler certains aspects du cerveau pour en délaisser d’autres », a ajouté Pierre Lavanex. « Avec le badminton, Olivier Andrey aura sûrement développé les notions de position dans l’espace ou encore la coordination au profit d’autres qualités cognitives. »
Il n’est donc pas nécessaire d’être un athlète de haut niveau pour renforcer son cerveau. « Polysportif, c’est l’enseignement indispensable aux enfants », a rappelé Patrice Guyot. « Quant aux adultes, les effets bénéfiques du sport après une journée de bureau sont bien différents des besoins d’enfants en développement. »

Le meilleur sport : le sommeil

Plutôt que la notion de sport pour améliorer les compétences cognitives, l’activité physique. « Il n’y a toutefois pas de miracles », a souligné le docteur du laboratoire de développement du cerveau et de la cognition à l’Université de Fribourg. « Il y a des périodes où la plasticité du cerveau est meilleure. Mais malgré tout on peut apprendre à tout âge. »
Au final, que ce soit pour le cerveau ou la santé, il faut bouger! Et si cela ne devait pas suffire à faire de nous des génies, Pierre Lavanex a rappelé que le meilleur dopage pour notre cerveau, c’est le sommeil, tant pour les sportifs d’élite que pour les sportifs amateurs.

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